Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 10 ans
17 heures, la nuit tombe ce sombre vendredi d’hivers. Je suis encore à 300 kilomètres de chez-moi.
A la sortie d’un village, un pneu de la voiture me précédant éclate, la voiture fait une embardée, freine et termine sa course doucement contre une glissière de sécurité.
Je m’arrête, les passagers n’ont rien, mais la voiture est inutilisable. Je vais chercher un dépanneur. Pendant le dépannage, au cours de la discussion, le couple d’accidenté m’informe qu’il va à un rendez-vous à 50 kilomètres de chez-moi, sur ma route. Je leur propose de les y accompagner avec la voiture de location et ils acceptent.
Après m’avoir remercié, nous reprenons la route. La conversation s’engage, et mes interlocuteurs me font part de l’importance de leur rendez-vous ; ils se rendent à une réunion sado-maso.
Lui est un maître, moustache, la quarantaine. Elle, sa soumise, est une belle femme, cheveux blond mi-court, la trentaine, habillée BCBG.
Nous échangeons nos points de vue sur le SM, et leur ayant fait par de mes goûts dans ce domaine, ils m’invitent, pour me remercier, à rester avec eux pendant le week-end, argumentant que le maître de cérémonie, devant nous recevoir serait d’accord. Je ne refusais pas une pareille offre. Durant la conversation, ils m’apprirent que cinq couples, maître soumise, dont les propriétaires, seraient présents.
Nous arrivons enfin sur le lieu du rendez-vous. Nous entrons dans une grande propriété. Le lendemain je pus apprécier de la beauté du parc. Au centre de ce parc, se trouvais une grande bâtisse, de caractère.
Le maître de cérémonie nous accueillis et fut très étonné de me voir. Mes passagers lui expliquèrent la mésaventure qui leur était arrivée, et l’informèrent de l’offre qu’ils m’avaient faite. Celui-ci n’y vit pas d’inconvénients, mais il soumettait son acceptation à celles des autres couples. Ils acceptèrent tous, et c’est ainsi que je fut admis pour le week-end à cette réunion.
Il était déjà tard, et nous fûmes invités à un repas exquis. Celui-ci fut servi dans une grande salle à manger, dont les meubles, en bois massif, s’harmonisaient très bien avec le cadre. La bonne humeur règne, et le soupé passe très vite. La discussion porte sur tous les sujets : métiers, politique, sports, sauf sur le sexe. Nous passons au salon pour le digestif, et la discussion porte sur le menu des réjouissances du week-end..
La réunion doit servir d’échange de soumises, afin que chacune d’elles soit l’objet de leçons données par les autres maîtres. Je suis donc le joker, pour donner une leçon supplémentaire dans l’éducation de chacune des soumises. Une domestique, du lieu, étant elle-même soumise, je formerais avec elle le sixième couple. Les séances devront durer environ deux heures, il y en aura une le samedi matin et deux le samedi après-midi. Le dimanche le même ordonnancement sera respecté. Les rapports sexuels, réservés à la soirée du samedi et à la dernière séance du dimanche, sont interdits pendant les séances, sauf les fellations.
L’ordre des passages est fixé, La dernière séance du dimanche se fera avec sa propre soumise, sorte de synthèse du week-end. Les donjons sont attribués, un mot de sûreté est défini pour tout le monde. Chaque soumise devra obéir comme si s’était son maître et donnera son questionnaire de soumission avant le début de la séance.
Chaque maître, présent, à une spécialité. N’en ayant pas, je propose à l’assemblé le scénario suivant :
Chaque soumise devra tirer au sort cinq points. Les cinq points sont les suivants :
1 _ La tenue. 26 tenues, dont le nu, l’écolière, l’infirmière, la pute.
2 _ Le bandeau et bâillon ou non
3 _ La position. 26 positions d’entraves ou non
4 _ Un jouet fixe. 16, dont les carcans, les pinces et poids, les godes.
5 _ Un jouet mobile. 19, dont martinet, cravache, bouteille de verre, godes, glaçons
Les attributs vestimentaires pourront être enlever, relevés ou déplacés, à volonté par le maître, afin de pouvoir mettre en action les jouets. Le maître de cérémonie se réserve le droit de faire subir au sujet tous les attouchements nécessaires à la scène, durant la préparation et pendant celle-ci.
Pendant le tirage au sort, et la préparation des différents éléments de la scène, le sujet sera nu, dans la position d’inspection. Les éléments tirés au sort, seront tirés dans l’ordre : 1 _ 2 _ 3_ 4 _ 5
Si des éléments tirés au sort sont incompatibles entre eux, ou s’il y a un manque de matériel, ou s’ils ne plaisent pas au maître, de nouveaux éléments seront tirés à la convenance du maître de cérémonie. A la fin du tirage, le sujet sera libre d’accepter ou de refuser tout ou partie du tirage, s’ils ne sont pas en accord avec son questionnaire de soumission..
Le maître se réserve le droit de choisir un jouet fixe et un jouet mobile, en complément du tirage.
Les soumises devront respecter le plus grand silence, sauf pour répondre aux questions du maître.
Chaque soumise devra apporter un sac contenant les différentes tenues. La liste est établie en fonction des effets disponibles.
J’indique à l’assemblée, que mon but n’est pas de faire souffrir pour faire souffrir, mais plutôt d’amener ma partenaire à la jouissance.
Les cinq maîtres présents sont enchantés de ma proposition. Ils souhaitent mettre mon scénario en place ces eux, afin de pimenter la relation avec leur soumise. Les bulletins du tirage sont écrits et placés dans cinq pots. Ceci fait, le maître des lieux me fait faire le tour du propriétaire.
Le rez-de-chaussée, de cette grande maison, regroupe toutes les parties communes : cuisine, salle à manger, salons, bureau. Au premier étage ; se trouvent les chambres, meublées avec goût. Au deuxième étage, se trouvent les donjons, six au total, tous identiques.
Chaque donjon, est une grande pièce munie de deux fenêtres, protégées par des volets. Ils sont meublés d’un fauteuil en cuir, d’une table basse. Ils sont équipés d’un portique muni de deux palans, d’une croix de St André, d’un cheval d’arçon, d’une table revêtue de cuir. Au mur divers martinets, cravaches, badines, paddles, collier, laisse, chaînes, cordes, sangles, menottes, carcans, sont bien rangées.
Dans une armoire, au portes vitrées, sont disposés divers godes, boules de geishas, bandeaux, bâillons, pinces, poids, bougies. Dans une alcôve attenante, fermée par un rideau, trône une table de gynécologie, dans une armoire sont rangés divers spéculums, poires de lavement, écarteurs. Un wc, un bidet, et un lavabo, complètent l’alcôve.
Il est tard, et tous les participants vont se coucher.
Samedi, 6 heure 30 réveil, 7 heure 30 petit déjeuné, entre maître, dans la salle à manger. Nous sommes tous dans la même tenue : torse nu, poignets de f o r c e, pantalon de cuir, bottines. Les soumises déjeunent à la cuisine et se préparent.
8 heure 45, inspection des soumises, dans le salon, elles sont habillées de manière identique :
En écolière, socquettes blanches, souliers à talons plats, minijupe plissée ultra courte, chemisier blanc déboutonné et noué à hauteur du nombril, collier et laisse. Les poignets et les chevilles sont ornés de bracelets de cuir, munis d’anneaux, non maquillées.
Elles sont dans la position d’inspection, tête droite, mains derrière la tête, jambes légèrement écartées.
Chaque maître fait connaissance avec la soumise dont il va s’occuper. Les soumises sont embrassées à pleine bouche, les chemisiers s’ouvrent, les seins sont caressés, les tétons titillés, les jupes se relèvent, les chattes et les culs sont palpés. Ce rituel se répétera à chaque début de séance.
A 9 heure, chaque maître monte au donjon en tenant sa soumise par la laisse. Je la place au centre du donjon et, prenant du recul, je la détaille quelques instants.
Ma première soumise est une grande belle jeune femme brune, cheveux longs, de 27 ans, prénommée LOLA. Déjà bien éduquée, aucune anxiété ne se lit sur son visage au trait fin. Elle possède de longues jambes galbées. Je lui enlève son chemisier, et fait tomber sa jupe à ses pieds.
Elle a une poitrine bien faite avec des seins en obus. Sa chatte est rasée et, son cul bien ouvert, doit être l’objet d’une attention particulière de la part de son maître. Je prends connaissance de son questionnaire de soumission, lui posant des questions sur ses préférences sexuelles. Divers points abordés font l’objet d’attouchements et de caresses.
Au bout d’une demi-heure, je procède au tirage.
La tenue, issue du sort, est le port de bas et d’un porte-jarretelles. Je regarde LOLA se préparer. Il n’y aura ni bâillon, ni bandeau. La position sera la position debout, bras et jambes attachées en croix. Les jouets fixes seront les pinces à linge. Le jouet mobile sera la cravache.
J’indique à LOLA que je choisis comme deuxième jouet fixe le carcan à seins, et comme jouet mobile des godes ( Anal et vaginal ). Elle est OK pour ce tirage.
Je place LOLA sous le portique. Par deux cordes je relie ses poignets aux deux coins supérieurs. Je fais de même pour ses chevilles, reliées aux coins inférieurs. J’ajuste les cordes pour qu’elle soit dans la position la plus écartée possible. Ceci fait, je l’embrasse, et je prépare les jouets que je range sur la table basse.
Je prends la cravache, je parcours tout son corps du bout de celle-ci. Quelques coups, non appuyés, sont donnés sur les fesses, l’intérieur des cuisses, le bout des seins. Sa chatte est titillée, et je fais pénétrer l’extrémité, elle en sort luisante de mouille. LOLA, déjà très excitée, nettoie goulûment le jouet. Quelques claques, données à main nue, font rosir son postérieur.
Je pose le carcan à seins, ni trop lâche, ni trop serré, de façon à bien faire saillir les bouts. Je joue avec les tétons, les tirants, leurs donnant de petites claques, je les fais rouler entre mes doigts. Je place une pince à linge sur chaque téton. Ceux-ci sont bien durs, et les auréoles ont augmenté de diamètre. LOLA est assez sensible, et elle pousse de petites plaintes de plaisir. Je complète le tableau en plaçant quatre pinces autour de chaque auréole ; La douleur est plus présente.
Je recommence mon manège avec la cravache. Je m’agenouille, explore la raie culière, fais le tour de la rosette, l’écarte et, après l’avoir bien lubrifié l, je plante le gode anal. Je lui fais faire des aller-retour, en le tournant, en même tant que mes doigts fouille sa chatte trempée. Ce corps, totalement entravé, se met à onduler, et j’accentue mes caresses de la chatte par des titillements du clitoris.
Sentant LOLA à point, je prends 3 pinces, ferme la chatte, tourne autour de ma soumise, en la frappant de petits coups de cravache, légèrement appuyés et précis. Elle se débat pour les éviter, elle doit deviner ou ils vont tomber. Je libère sa chatte. Je prends quatre pinces, que je fixe sur les grandes lèvres. Ces pinces sont maintenues par du ruban adhésif, afin que la chatte soit largement ouverte.
Elle vibre de plus en plus, et réclame encore des stimulations. Je prends le gode vaginal, que je règle sur la vibration minimum. Celui-ci introduit, je reprends les va et vient avec les deux godes, en augmentant les vibrations. Ce jeu dure quelques minutes, j’arrête et j’ordonne à LOLA de retenir les godes jusqu’à la fin de la séance. Elle doit faire des efforts, compte tenu de son état de lubrification. Si un gode tombe, c’est deux coups de cravache appuyés sur chaque fesse.
Assis dans le fauteuil, je contemple mon tableau, regardant cette soumise se contractée et se débattre.
Je fais disparaître les pinces qui sont autour des auréoles, les pinçons sont bien marqués, je les palpe, les auréoles, sont très développées. Je re serre, d’un tour de vis, le carcan, teste la fermeté de chaque sein, libère les tétons, replace les pinces. Je les libère définitivement, j’étire, comprime, roule, mordille, claque, ses tétons bien dur, en tenant fermement chaque sein. Chacun d’eux reçoit de légers coups de cravache, dessus, dessous.
A un quart d’heure de la fin, j’enlève les pinces de la chatte, le carcan, et je détache ma LOLA. Ne conservant en elle que les godes, elle me fit une merveilleuse fellation. Elle se rhabille, et tenue en laisse, à 11 heure, nous rejoignons les autres couples pour l’apéritif.
Il n’y a que les maîtres au déjeuné, les soumises sont à la cuisine.
La conversation porte sur les pratiques sur l’éducation des soumises. Chaque maître fait part de ses souhaits, des leçons à venir. Ils cherchent d’autres façons d’organiser leurs réunions futures pour compléter l’éducation. Ils décident, que lors de la prochaine réunion, les séances se feront à quatre, : 2 maîtres et 2 soumises, afin d’initier, chacune d’elles, à la domination féminine. Je fais alors part à l’assemblée d’une idée sur la fabrication d’un meuble SM, que je n’ai jamais trouvé dans un donjon.
Pour moi, la table de gynécologie est bien, mais pour inspecter et travailler le sexe et le cul d’une soumise, dans de bonnes conditions, il faut que le sujet change de position. De plus, on ne peut pas ajuster la hauteur.
Ce meuble est une chaise très spéciale, en bois, revêtue de cuir. Cette chaise n’a pas d’assise, le sujet repose seulement sur le bas des cuisses, près des genoux, avec un retour permettant de lier les chevilles. Les deux assises sont à angle droit°, deux sangles permettent l’immobilisation des cuisses. Le dossier est droit, étroit et haut, muni de deux sangles, une de retenu du ventre, une de retenu du coup. Il s’arrête à la hauteur de la chute de reins. De cette manière, les seins, le cul et le sexe sont bien dégagés et accessibles. Les mains sont attachées à l’arrière du dossier. Cette chaise, c’est sa grande particularité, peut pivoter sur un tour complet, afin de pouvoir mettre le sujet dans diverses positions :
A l’horizontal, couché sur le dos. A l’horizontal, face vers le sol La tête en bas. Et toutes les positions intermédiaires. Enfin la hauteur est calculée, pour que dans toutes les positions, le travail du maître soit facilité.
Cette idée séduit mes collègues, notre hôte va étudier la question, et je serais invité à l’inauguration.
Le repas se termine, et nous passons au salon pour le digestif.
Le repas achevé, à 13 heure 45, le cérémonial reprend avec la nouvelle soumise. Toujours placée au centre du donjon, ma deuxième soumise est ma passagère de la veille. Cette blonde de 32 ans à des seins en poires, la chatte rasée, le cul peut ouvert. Elle se prénomme RITA.
L’inspection faite, et son questionnaire parcouru, le sort à désigné. La tenue au libre choix du maître, elle restera nue. Pas de bâillon, ni de bandeau. La position sera la visite gynécologique poussée. Elle est OK pour ce tirage.
Nous passons dans l’alcôve, et elle se couche sur la table. J’ai abaissé le dossier, afin qu’elle soit étendue bien à plat, et je place sous ses reins un coussin pour que son cul soit légèrement relevé. Elle place ses pieds dans les étriers, je les attache, et je règle les étriers pour que ses jambes soient dans un écartement maximum. Ses bras sont placés le long du corps, je relie ses poignets à la base des étriers. Je place une corde sous chaque aisselle, ces cordes sont attachées aux pieds de la table. De cette manière, elle ne peut plus bouger.
J’embrasse alors ma RITA, et je prépare, sur une desserte, les instruments utiles à la visite :
Des spéculums, des godes, les boules de geishas, des pinces, des écarteurs.
Je m’équipe d’une lampe frontale, je me lave les mains soigneusement.
Pendant toute cette préparation, je lui pose diverses questions sur sa vie sexuelle intime :
Elle doit me raconter son dépucelage.
Combien elle a eu d’amants ?
Dans quelle position prend-elle le mieux son pied ?
Ses pratiques SM préférées ?
Ect…
J’apprends ainsi que son maître ne touche jamais son cul, qu’elle n’a pas d’amant, qu’ils ne sont pas mariés, qu’elle se donne corps et âme à maître. Je commence la visite par la tête, sa bouche est fouillée, sa dentition vérifiée, elle doit tirer la langue. Ensuite les yeux, qui sont d’un bleu profond, sont examinés. Enfin je termine par le nez et les oreilles
Je descends, le coup et les épaules sont palpées. Les seins sont effleurés de la paume de la main. Puis, un sein dans chaque main, ceux-ci sont malaxés, pincés. Les prenant ensuite, chacun à deux mains, je les compresse fortement, puis les étire. Les tétons font l’objet d’une attention particulière : Ils sont comprimés, tirés, roulés, sucés, mordillés. Je place, pour finir, une pince sur chacun, pinces reliées par une chaînette.
C’est au tour du ventre d’être ausculté, comprimé, pincé. Je m’attarde sur le nombril.
Je fais le tour de la table et je viens me placer entre ses jambes. Je m’installe sur un tabouret, je contemple un instant cette chatte et ce cul offert.
J’examine brièvement le cul en premier, celui-ci sera inspecté plus longuement à la fin de la séance. Je tourne autour de sa rosette, je sens RITA contractée, j’humecte sa rosette avec son jus déjà très abondant. J’écarte ses fesses avec les mains pour ouvrir son passage secret. Je tente un doigté anal. Elle est très étroite, et je décide de placer un plug de petite taille, avec moult précautions, afin de faciliter l’inspection future. N’ayant pas l’habitude d’être pénétrée par ce chemin, RITA émet quelques plaintes, malgré l’abondance de gel lubrifiant.
Son sexe s’offre à moi, fermé, mais les lèvres ont gonflées, j’ai à peine posé les doigts dessus que je le sens près à me révéler d’alléchantes promesses. Les réactions de RITA ne trompent pas, c’est sa partie sensible, ses gémissements deviennent des gémissements de plaisir.
Je prends ses grandes lèvres entre mes doigts, les déroules, les étires. Une chatte toute rose et toute luisante m’apparaît. Changeant de prise, je découvre un clitoris, de taille moyenne, niché au fond de sa grotte d’amour. Sans bouger, je jouis une minute de ce spectacle.
Souhaitant en voir plus, j’écarte en grand, à l’aide de mes doigts, et ma lampe frontale me permet d’admirer ce vagin dégoulinant très dilaté. Je prends un écarteur, que je maintien sur le haut du sexe, et avec deux doigts de l’autre main je tire et écarte le bas. Pour faciliter mes investigations, je mets en place un grand spéculum, que j’ouvre à un écartement maximum. Je fais glisser un gode très fin, au centre du spéculum, le remonte, le lâche. Les petits heurs, au fond du vagin, la font sursautée. J’ôte le spéculum.
Je fais un doigté avec un, puis deux, puis trois doigts. Le ventre de RITA se met en mouvements accompagnant mes va et vient.
Je décide de jouer avec les boules de geishas, j’introduis la première, puis la seconde. Je les pousse de mes doigts le plus profondément possible. Je reviens me placer sur le coté de la table et, tout en tenant fermé cette chatte je tire sur l’anneau des boules, puis les repousse. Après, deux ou trois aller-retour, je sors doucement la première boule, puis la deuxième. Je recommence l’opération et, à la fin de celle-ci, je donne les deux boules à nettoyer à ma patiente.
Je veux juger des réactions au froid de RITA. Je demande des glaçons par l’interphone.
Je promène un glaçon autour de ses seins, sur son ventre, et je le laisse sur le nombril. Un deuxième descend du mont pubien, arrivé sur les lèvres, la chatte se referme comme une huître. Ecartant les lèvres, je fais pénétrer le glaçon, puis un deuxième. Ceux-ci fondent vite, dans la chaleur du fourreau. RITA à la chair de poule, elle frisonne. Un jus odorant suinte. Un long doigté me fait apprécier les contractions du vagin, la chaleur reprend vite ses droits.
Je continue en lui plaçant un gode vibrant gonflable. Tout en réglant les vibrations, je gonfle et dégonfle le gode pendant les va et viens. Lorsqu’il est réglé à ma convenance, tout en le manœuvrant, je joue avec le clitoris. Les ondulations de ma patiente reprennent de plus belle.
Pour finir, après avoir enlevé le gode, je vérifie le fonctionnement des voies urinaire. Je prends une cuvette, que je cale sous ses fesses et j’ordonne, à RITA, de pisser par petits jets. Elle doit s’arrêter à chaque fois que je le désir, puis reprendre. Son questionnaire m’a appris qu’elle sait se contrôler. Pendant son exécution, j’écarte plus ou moins sa chatte avec mes doigts Une fois soulagée, je lave ma soumise comme un bébé.
Je détache les chevilles et, relevant ses jambes d’une main, j’écarte sa chatte de l’autre pour bénéficier d’une vue par derrière. L’examen de partie avant étant terminé, je la détache complètement pour pouvoir la placer à genoux sur la table. Je fixe ses chevilles dans les étriers que j’ai rapprochés. Je relève le dossier afin qu’elle puisse prendre appui sur le haut, et je fixe ses poignets.
Son cul étant bien offert, j’enlève le plug, et je le claque afin de le chauffer un peu. Je prépare tout le nécessaire d’un lavement à l’eau tiède : canule, grosse seringue. Celui-ci administré, elle doit le garder le temps pour moi :
D’ausculter son ventre, le comprimer.
De faire un doigté vaginal
De titillé quelques instant le clitoris.
De placer deux pinces, aux grandes lèvres, reliées, par des chaînettes, aux bracelets de ses chevilles. De plus j’introduis un gode vaginal vibrant.
De jouer avec la chaîne pendant de ses tétons
Je caresse sa rosette, ose l’intromission d’un doigt. J’ordonne d’expulser le lavement dans la cuvette. J’écarte alors, sans délicatesse, ses fesses, je fais un doigté appuyé. Son conduit, détendu par le gode et lubrifié par le lavement devient plus docile. Elle apprend vite et ses muscles aident à l’introduction. Je place un spéculum. Elle grimace un peut, mais elle commence à aimer çà.
Après l’avoir bien inspectée, je remplace le spéculum par un gode. Celui-ci entre relativement facilement, et je commence les va et viens. Doucement, au début, en tournant légèrement, j’accélère progressivement. Je joue des deux godes en même temps ou alternativement. La séance se termine par un nettoyage en règle des deux godes par RITA. Elle souhaite goûter à la sodomie, le rendez-vous est pris pour le soir même.
Elle se rhabille, et tenue en laisse, à 16 heure, nous rejoignons les autres couples pour la troisième séance. Ayant pris une petite collation, à 16 heure 45, le cérémonial reprend avec la troisième soumise.
Rousse de 39 ans, cheveux coupés court à la garçonne, elle est gironde et je dirais même potelée. Elle a de gros seins lourds, encore ferme mais tombant un peut, un peut de ventre, de grosses cuisses un cul majestueux, la chatte rasée largement ouverte. Légèrement marqué par ses dominateurs précédents. De prénom SUZY, elle est soumise à tout d’après son questionnaire, habituée de ces séances, elle préfère les flagellations aux attouchements.
Sa tenue sera une tenue BCBG : Chemisier, tailleur jupe moulante étroite, talons aiguilles, bas et portes jarretelles. Elle se prépare et le sort désigne un bâillon. Je choisis un bâillon pénis. Celui-ci posé, la position sera sans entraves, c’est à dire qu’elle devra obéir à tous mes ordres, prendre les attitudes imposées. Il n’y a pas de jouets à tirer, le maître les choisissant au fur et à mesure.
Elle accepte le tirage.
Je lui ordonne de monter sur la table basse, dans la position d’inspection. SUZY doit s’accroupir genoux écartés. Sa jupe la gène et elle doit se dandiner pour y arrivée. Je peux ainsi palper à loisir sa chatte et son cul. Ceux-ci sont très ouvert et, un doigté appuyé me laisse à penser qu’ils sont accueillants. Redressée, elle enlève tailleur et chemisier. Accroupie de nouveau, je peux maltraiter ses gros seins. Les auréoles sont larges, les bouts longs et déjà durs. Son maître doit s’en occuper, car elle n’a aucune réaction de douleur à mon traitement particulièrement ferme. Les lèvres de son sexe sont longues, elle doit souvent porter des pinces et des poids. Sa rosette n’est plus fermée, un trou béant se trouve devant moi.
Je la fais descendre de la table basse, enlever ses talons aiguilles et, prenant un martinet, Je la flagelle du milieu du dos au bas des cuisses. Je passe ensuite au devant. Les coups tombent sur ses seins, son ventre, ses cuisses. J’applique quelques coups sur son entre jambes, par-devant et par derrière.
Bien chauffée, nous allons commencer une petite séance de gymnastique.
SUZY doit sautiller sur place en levant haut les genoux. Ses seins ballottent. Je place, sur les bouts, deux pinces reliés par une chaînette. Je tiens la chaîne, ordre de sautillement à pieds joints, chaque saut entraîne un étirement des bouts. Je remplace la chaîne par des poids, les sautillements reprennent, les poids s’entrechoquent.
Exercice de marche : marche sur la pointe des pieds, marche sur les talons, marche accroupie, marche à quatre pattes. Cravache en main, je rectifie la position lorsque c’est nécessaire à mon goût. Je place un plug et un gode de bon diamètre, une chaînette relie les lèvres. Les marches reprennent, moins bien assurées, le gode vaginal a du mal à rester en place, elle doit faire un effort, les coups tombent. La chaînette est remplacée par des poids, nouvelle marches, avec variante, à quatre pattes à l’envers, ventre en l’air, la chatte s’ouvre, aspire le gode, merveilleux. Je retire le gode et le plug, laisse les poids
Exercice d’équilibre : une main en appui sur le mur, sur un pied, l’autre jambe levée le plus haut possible. J’accompagne la levée de la jambe de la cravache. Maintien de la pose. Variante, plus inconfortable, jambe levée en appui sur le mur, sans aide des mains. La cravache caresse doucement ses contours, du cou, les épaules, le long des bras, les mains, les cuisses, les mollets, son dos, le rebondis de ses fesses, son entre seins, son ventre. La cravache arrive aux portes du sexe, oblige l’entrée, ressort, entre encore. La position devient dure à tenir, un coup sur chaque fesse pour la rectifier. La cravache parcourt la raie culière, le manche disparaît dans l’anus.
Pose, j’enlève la cravache, je m’installe confortablement dans le fauteuil, ma soumise vient se placer devant moi, de dos, jambes écartée, penchée en avant. Je contrôle son état après cette séance. Sa chatte s’offre à moi bien ouverte, les poids aident à l’ouverture, le clitoris me nargue, je m’en empare, le tire, le compresse. Un doigt, deux doigts, trois doigts, la main presque entière, se fond un passage. Elle veut se redresser, je tire, d’une main ferme, sur les poids reliés aux tétons. Ensuite son cul majestueux est malaxé, mordillé, claqué, pincé. Le plug ayant ouvert le chemin, deux doigts, puis trois, explorent le conduit secret.
Fin de la séance de gymnastique, exercice de pompes : en appui sur les mains et la pointe des pieds, jambes écartées, SUZY doit exécuter 20 pompes à mon ordre. Je me saisis de deux godes et je me place entre ses jambes. Je commence à compter, les pompes sont réussies si les poids touchent et décollent du sol, j’ai réglé la longueur des chaînes en conséquence. A chaque descente un gode f o r c e son sexe et, à chaque remontée l’autre se vrille dans son cul. Les cinq dernières sont très pénibles, compte tenu de son embonpoint, certaines sont ratées, on annule et on recommence.
Pendant qu’elle reprend son souffle, je vais chercher quatre chaises. Je place ma soumise à quatre pattes, une main et un genou sur chaque chaise. J’écarte les chaises au maximum. La position est très inconfortable. Les poids pendent. Je prends un long double gode, une extrémité obture l’anus, l’autre le vagin. Je m’assure de l’ancrage. Je chauffe son cul avec un paddle. J’enlève le bâillon et j'oblige ma soumise à me faire une fellation.
Pour la fin de la séance, elle doit s’allonger sur la table, replier ses jambes et tenir ses genoux écartés avec ses mains. J’enlève les poids des lèvres, ceux des seins pendent de chaque cotés. J’allume une bougie. Je la passe près de son entre jambes pour la mettre en condition, puis je dessine une croix sur son torse. Une ligne part de son entre seins et descend jusqu’au mon pubien, en évitant soigneusement le nombril. L’autre traverse son torse juste en dessous des seins.
Elle se rhabille, et tenue en laisse, à 19 heure, nous rejoignons les autres couples pour le repas du soir.
Pendant que les maîtres prennent une douche salvatrice, et revêtent une djellaba, pour la soirée, les soumises prennent leur repas.
A 20 heure, les maîtres descendent prendre l’apéritif au salon, pendant que les soumises se préparent en tenu de soubrette, seins nus ultra minijupe plissée noir et petit tablier blanc.
21 heure, nous passons dans la salle à manger. Nos soumises respectives nous attendent près de notre chaise. Je fais connaissance avec la domestique qui m’a été attribuée pour former le sixième couple.
C’est une jeune fille de 21 ans, prénommée SOPHIE, très jolie, fort bien faite, blonde cheveux mi-long, de petits seins. Pour le reste, je découvrirais plus tard que c’est une vraie blonde et, en passant une main sous la jupe, je sens une chatte non rasée mais peut poilue.
Nos soumises sont la pour nous servir et pour notre plaisir. La discussion s’engage sur les leçons données dans la journée et l’attitude de chaque soumise est commentée. Les plats s’enchaînent, la bonne humeur règne, les mains se font baladeuses. De temps à autre une ou plusieurs soumises disparaissent sous la table. A la fin du repas, nous passons au salon pour les digestifs et un bon cigare. L’ambiance est calme et détendue. Nos soumises prennent des positions lascives. Je fais asseoir la mienne sur un genou, et je la caresse doucement.
Quelques instant plus tard, nos soumises sont priées de nous offrir un petit spectacle lesbien. Mise à nu par nos soins, elles s’accouplent deux par deux et commence un broutage de chatte, ponctué de râles et de gémissements, de caresses en tout genre.
Un des maîtres souhaite voir prendre sa soumise, à la chaîne, par les autres membres de l’assemblée. Le tableau se met en place : elle se met en appui sur une table, afin d’être prise en levrette, nous enlevons notre djellaba, et nos soumises respectives nous préparent : préservatif et fellation. Nous honorons notre victime, chacun à notre tour.
Je fais part du désir de RITA, ma passagère de la veille, d’être sodomisée. Son maître à un instant d’étonnement, mais il accepte avec joie. Je place RITA dans la même position que la soumise précédente, je lubrifie son étroit conduit secret. Je me présente aux portes du temple, RITA aide en détendant ses muscles, je f o r c e le passage et j’entre doucement. Je commence les va et viens. Surmontant la première douleur, son plaisir commence à montée, elle se masturbe d’une main et arrive à la jouissance en même temps que je décharge en elle.
La soirée se termine dans une orgie collective. Des couples, des trios se forment, changent. L’ambiance est au plaisir et à l’amour, on n’entend plus que des râles et des gémissements.
A minuit, nous montons nous coucher. Je peux garder ma soumise pour la nuit, avec toutes les prérogatives d’un maître officiel, bien qu’elle ne m’appartienne pas. Arrivée dans la chambre, j’e l’embrasse SOPHIE, la caresse, lui fait l’amour.
Je lui fais part de mon désir de la raser. Bien que réticente, SOPHIE accepte. Je place une serviette de bain sur le lit, elle se couche dessus, cul au bord, les jambes grandes écartées, mains le long du corps. Salle de bains, je prépare un rasoir, avec lame neuve, le gel de rasage, de l’eau tiède, un gant de toilette, une crème apaisante. Je reviens, contemple un instant ses poils blonds qui vont disparaître. Je les humecte avec le gant trempé dans l’eau tiède. Une noie de gel, je l’étale doucement jusqu’à ce que la mouse devienne bien onctueuse. Le rasoir, passage de la lame, avec précaution, dans les moindres recoins et plis de cette partie intime. Mes gestes sont doux, caressants, attentionnés. Je découvre la beauté de sa chatte, l’anus bien lisse, jusqu’au pubis, plus un poil, c’est doux. Je nettoie le surplus de mousse, je passe le crème apaisante. Elle baisse les jambes, je lui permets de toucher, j’accompagne sa main, je la caresse, SOPHIE est souriante. Nous nous couchons, refaisons l’amour, je la sodomise, nous nous endormons, elle blottie dans mes bras.
Dimanche, 6 heure 30 adorable fellation de réveil. SOPHIE est radieuse
7 heure 30 petit déjeuné, même cérémonial que la veille.
8 heure 45, prise en main de la quatrième soumise.
Grande belle femme de 28 ans, cheveux châtains coupés à la STONE. Une fois nue, je découvre un corps élancé, de longues jambes fines, un petit cul bien rond, des seins menus, une jolie fente rasée. L’étude de son questionnaire fait apparaître un penchant certain pour le bondage dans des positions pénibles. Son surnom LINDA.
La tenue désignée est un string de chaînes. Je le confectionne à l’aide de deux chaînes. La première enserre la taille, je la tends au maximum afin de marquer la peau. J’accroche la deuxième sur la première, au milieu du ventre, je la passe bien au centre des lèvres, que j’écarte légèrement, je la remonte dans la raie culière et je l’accroche tendu, dans le dos. Je lui fais faire quelques pas pour tout mettre en place.
Le sort désigne le bandeau que je place sur les yeux de LINDA.
Elle sera suspendue à l’équerre, jambes très écartées.
Les élastiques autour des seins sont désignés comme jouet fixe.
Une bougie sera le jouet mobile.
J’indique à LINDA que je choisis comme deuxième jouet fixe les pinces à linges, et comme jouet mobile une corde avec de gros nœuds.
Elle est accepte ce tirage.
LINDA étant aveuglée par le bandeau, je prends tout mon temps afin de guetter ses sursauts à chaque attouchement.
Je la fais asseoir sous le portique. Je lie ses poignets à une barre d’entrave de 50 cm, que je fixe au premier palan. J’attache une corde aux bracelets de ses chevilles, je fais passer ces cordes dans deux poulies installées à mi-hauteur des montants du portique, et je les attache à une deuxième barre d’entrave, fixée au deuxième palan. Je règle les cordes pour que LINDA ne soit plus en appui que sur son cul, jambes levées et écartées. J’actionne, alternativement, les deux palans, ma soumise monte doucement. J’arrête quand le bas de son dos est à peut près à 1 mètre du sol.
Je promène mes mains longuement sur ce corps sans défense. Je m’attarde particulièrement sur ses aisselles et la naissance de ses seins. Ils sont si menus qu’ils tiennent presque dans la paume de ma main, et je me dis que la pose des élastiques ne va pas être simple. Ses tétons durcissent sous mes doigts.
Je m’amuse, un instant, à faire balancer LINDA en poussant sur ses épaules. Passant entre ses jambes, je contrôle le bob positionnement de la chaîne du string. Celle –ci, déjà luisante, fait ressortir les lèvres. Je les prends, les étires, recouvres la chaîne. Je tire sur la chaîne pour comprimée la chatte un peut plus, de deux doigts j’oblige la chaîne à disparaître entre les lèvres. Je pousse sur l’intérieur de ses genoux, pour l’obliger à replier ses jambes et, donc, à remonter son cul.
Je détache la chaîne sur le ventre, et je la laisse pendre à terre. Je flatte la chatte, ainsi libérée, de quelques tapes amicales, puis j’introduis mes doigts dans le fourreau bien chauffé. Je libère le clitoris et je m’en amuse un moment. Je ferme, ce sexe trempé, avec la bougie, comme avec un gode, et j’allume celle-ci.
Je m’agenouille, donne quelques claques sur le petit cul rond et bien tendu. J’inspecte le conduit secret, qui s’ouvre de lui-même. Je déplace la bougie, la flamme à quelques centimètres sous ce cul. MLINDA tire sur ses bras et sur ses jambes afin de remonter son cul pour le soustraire à la chaleur naissante. Je la laisse gigoter un instant et je remets la bougie à sa place.
Tenant un élastique, détendu par trois doigts d’une main, je saisis, de l’autre main, le téton d’un sein, que j’étire. Je pose l’élastique, puis un deuxième ; Opération identique pour l’autre sein. Les bouts sont maintenant bien fermes, les tétons dures et tendus. Je joue avec, les pinçant, les roulant, les mordillant, les suçant. Je les choque rapidement avec les doigts. Je leur fais deviner la pince à linge qui va les emprisonner, j’en pose une sur chaque téton.
Inclinant la bougie, je fais tomber une goutte de cire, sur le haut de chaque sein, à cheval sur la peau et les élastiques pour sceller ceux-ci. Je reviens jouer avec la chatte, caresser les grandes lèvres, les étirer, les préparer à la pose de deux pinces sur chacune d’elles. Je fixe les pinces, sur l’intérieur des cuisses, avec du sparadrap pour avoir la plus grande ouverture possible. Je scelle les sparadraps par deux gouttes de cire.
Je choisis une corde avec des nœuds de quatre centimètres de diamètre, dont un en extrémité, et de 1 mètre 50 de long. Je promène la corde à nœuds de l’entre seins à la chatte, Je l’étale sur le ventre, le nœud d’extrémité reposant sur la chatte grande ouverte. Je l'oblige à entrer, Je pousse sur la corde pour qu’il aille au plus profond, j’exécute des va et viens comme avec un gode. La corde bien ancrée, je saisis l’autre extrémité et je la secoue pour qu’elle vienne frapper le ventre. Tenant la corde en son milieu, je flagelle rudement les cuisses et le cul. Pendant que je Recommence les va et viens, je fais couler quelques gouttes de cire sur le ventre de LINDA. Je sors la corde d’un coup sec et je lui fais sucer le nœud tout imprégné de sa mouille.
Je règle les palans, un pour relever ses jambes, deux pour abaisser ses bras, afin qu’elle soit inclinée à 45°, la tête en bas. Je prends une bougie neuve de 25 centimètres de long. Je la visse dans le vagin et je l’allume. Le chalenge est simple : si elle bouge, elle se brûle. La cire commence à couler le long de la bougie et quand elle arrive presque froide sur ses lèvres, je l’enlève.
Je termine la séance par une flagellation, à l’aide de la corde. Je commence par les seins, puis le ventre, le haut des cuisses, le bas des reins, le cul. Je termine par l’entre jambe. Après un dernier doigté anal et vaginal, je la libère, ôte le bandeau. LINDA est toute raide, elle se détend un moment, puis se rhabille. Tenue en laisse, à 11 heure, nous rejoignons les autres couples pour l’apéritif.
Le repas achevé, à 13 heure 45, le cérémonial reprend avec la cinquième soumise.
Toujours placée au centre du donjon, je détaille cette jeune fille de 23 ans, brune, eurasienne, des seins galbés, petite mais bien proportionnée, un cul tombant, une fente longue et étroite. Elle se prénomme JULIETTE..
Son questionnaire montre qu’elle débute en soumission, mais qu’elle souhaite essayer beaucoup de choses. Elle est très motivée, les maîtres précédents lui ont fait découvrir chacun sa spécialité, en douceur mais fermement. Pour ma part, le petit jeu du tirage au sort à donnée le résultat suivant :
Pour tenue, un corset seins nue et des cuissardes. J’enlève les bracelets des chevilles, elle enfile les cuissardes, je re place les bracelets par-dessus. Je lasse son corset serré ce qu’il faut. Le corset creuse sa chute de reins, faisant ressortir magnifiquement son cul. Elle reprend la position d’inspection.
Pas de bâillon, ni de bandeau
Elle sera couchée sur une table, écartelée, jambes repliées très écartées, cul dépassant du bord de la table, tétons maintenus étirés par des pinces et des cordes.
Je choisis le carcan à seins comme jouet fixe. Elle subira l’introduction d’objets divers dans bouche, chatte et cul, et je choisis la badine comme jouet mobile supplémentaire. Elle est enchantée par ce tirage. Par l’interphone je demande les objets manquants dans le donjon, soit : des glaçons, un gros concombre, quelques bananes, une bouteille en verre.
Je malaxe ses seins, fixe le carcan, titille les bouts. Après quelques claques, pour faire rosir son cul, je lui fais sucer un plug de taille moyenne, que je mets en place. L’ayant bâillonnée avec un gode, Je travail sa chatte, afin de l’entre ouvrir et de la lubrifier, et je l’en gode.
Je place la table sous le portique, une extrémité à hauteur de deux montants. JULIETTE se couche, replis ses jambes, qu’elle doit maintenir de ses mains. La prenant par les hanches, je la fais glisser pour que son cul dépasse du bord de la table. Je fixe une corde sur chaque genou, que j’attache aux anneaux supérieurs des montants opposés du portique. Je relis les bracelets de ses chevilles en haut des montants du portique, je règle les cordes pour qu’elle soit dans un écartement maximum. De cette manière les cordes ne me gêneront pas. J’attache ses mains en croix aux pieds de la table.
Une caresse sur les tétons, j’enferme ceux-ci dans des pinces que je relie, à l’aide d’une corde, au crochet d’un palan, situé à la verticale. Je règle la tension du palan. Le gode enlevé, je manipule les grandes lèvres, les déroule, les tire, les pince. Je découvre le clitoris, tourne autour, le frotte. Je doigte JULIETTE, un doigt, deux doigts, la deuxième main, j’ouvre, j’étire, je dilate sa chatte. Elle suce mes doigts,
JULIETTE commence à trouver la position inconfortable.
J’enlève le plug, quelques coups de badine sur son cul et ses cuisses, et je plante celle-ci en bouche. Je range, sur la table basse, les objets dans l’ordre de leur introduction. Reprenant la badine, je frappe les cordes reliant les pinces pour les faire vibrer.
Les introductions commencent. D’abord les boules de geishas, une boule, la deuxième, elles ressortent, roulent sur le clitoris, entrent de nouveau, restent en place. Un petit gode fouille le conduit secret, les boules ressortent d’un coup sec, JULIETTE les nettoie, les suce, elles sont remplacées par des glaçons. Deux glaçons trouvent leur place sur le ventre, sous le corset, Elle doit en sucer un. Un plug prends la place du gode anal. Les cordes sont remises en vibration.
JULIETTE a envie de pisser, le plug disparaît, la cuvette en place sous son cul, elle se soulage. Petit nettoyage, le manche d’un martinet se plante verticalement en bouche, les lanières retombent sur son visage. Une bougie se visse dans le cul, je l’allume. Une cravache émerge fièrement de la chatte, elle est secouée, d’abord doucement, puis rapidement. Les cordes sont remises en vibration. Un collier de grosses perles remplace la bougie. Une perle, deux perles, jusqu’à 10 perles sont englouties. Le collier pend à terre. JULIETTE nettoie la cravache.
Je choisis une banane bien ferme, l’épluche à moitié, elle disparaît dans la chatte humide. Je la tourne doucement, fais des va et viens, pour bien l’imprégner, le clitoris est frotté par la peau de banane, c’est le quatre heure de JULIETTE. Les cordes sont remises en vibration. Je lave la bouteille, la rempli à moitié d’eau tiède, je sors les perles rapidement, j’enfonce le goulot. JULIETTE doit serrer les fesses pour la maintenir en place. Le concombre remplace la banane.
Un gode remplace le concombre, un plug la bouteille, JULIETTE doit boire à même le goulot.
Je libère les tétons, les titille, j’enlève le carcan à seins. Je la détache, l’aide à se relever. J’enlève le gode et le plug, la doigte un moment, elle se rhabille et nous rejoignons l’assemblée pour la dernière séance, il est 16 heure.
16 heure 15, je retrouve SOPHIE. C’est la séance de fin de week-end, chaque soumise est avec son maître pour une synthèse. Je la caresse, apprécie la douceur de sa chatte fraîchement rasée.
En souvenir de la merveilleuse soirée précédente, je décide d’une leçon de maintien et de contrôle tout en douceur.
Je la veux en soutien gorge et culotte de dentelle blanche. Elle n’aura ni bâillon, ni bandeau. Les jouets se choisiront au gré de la séance. SOPHIE s’habille.
Je la fais marcher devant moi, un pied devant l’autre, comme les mannequins, son beau corps ondule, sa démarche est parfaite. SOPHIE revient vers moi, de face c’est encore plus beau que de dos, les jambes sont fuselées, ses seins fermes ne bougent pas. Je caresse ses seins au travers de la dentelle blanche, sens ses fiers tétons, ils durcissent.. Reprise de la marche, genoux levés, elle s’éloigne, je me place de coté, elle revient.
Je veux voir l’entre jambes : une jambe se lève très haut, bien tendue, SOPHIE marque la position un instant, en équilibre, repose la jambe, lève l’autre. Tout se passe doucement, au ralenti, comme pour faire durer le plaisir. Je m’approche, écarte la culotte pour avoir une vue plongeante sur sa chatte, ose une main, mes doigts se blottissent dans son intimité chaude et humide.
Nouvelle marche, accroupie, genoux écartés, accroupi aussi, je me régale du spectacle.
Debout, je palpe son cul, quelques claques légères et à quatre pattes. SOPHIE obéie à merveille, les poses sont parfaites, elle se donne du mal pour notre plaisir.
Direction la table de gynécologie. Elle prend la pose d’elle-même, pieds dans les étriers, jambes largement écartées, je n’ai pas à dire un mot. Je dégrafe et ôte lentement son soutien gorge. Ses petits seins s’offrent à moi, je les palpe, joue avec, les tétons durcissent vite. Ils sont sensibles, je n’ai pas envie de les maltraiter, seulement des caresses. SOPHIE gémit, je l’embrasse.
Je passe devant la table, entre ses jambes, caresse l’intérieur des cuisses. Mes mains longent les coutures de la culotte, une belle auréole gris clair trône au centre. Un doigt remonte doucement, de la raie culière jusqu’au haut du mont de venus, le tissu est juste frôlé. Le doigt redescend, remonte, l’appui est plus fort, je f o r c e le tissu à pénétrer dans la chatte, les lèvres débordent, toutes roses, contraste avec le blanc de la culotte. SOPHIE en veut plus, mais je m’arrête, le plaisir doit monter doucement.
Je repasse à coté d’elle, je baisse doucement sa culotte pour découvrir sa chatte. SOPHIE aide la manœuvre en soulevant légèrement ses fesses. La culotte au ras des fesses j’arrête, tire les lèvres, ouvre sa chatte. Je la masturbe doucement un instant. Je lui demande de lever les jambes en les serrant, je les saisis et commence à faire glisser lentement sa culotte jusqu’à mi-cuisses, j’admire sa chatte par derrière. De mon autre main je caresse ses lèvres, les écarte, les étire doucement. Un doigt, puis deux, explore sa grotte d’amour. Un doigt, bien lubrifié, descend jusqu’à l’anus, s’amuse de la rosette, pénètre le conduit secret. Le pousse s’introduit dans la chatte, lent va et viens des deux doigts.
J’ôte complètement sa culotte, la renifle, elle disparaît dans ma poche en souvenir, je repose ses jambes dans les étriers. Je la masturbe avec un gode, une main faisant vibrer son clitoris. SOPHIE gémit de plus en plus, son corps ondule, me demande de lui faire l’amour, ce n’est pas encore le moment. Je la laisse très excitée, installe la cuvette sous son cul.
Exercice de contrôle urinaire, je maintien l’excitation en la doigtant, le pouce caressant le clitoris. SOPHIE va devoir pisser par petits jets en s’arrêtant à mon ordre. Premier jet, l’arrêt n’est pas tout à fait respecté, deux claques sur les fesses. Deuxième jet, c’est mieux, elle fait des efforts, je reprends mon doigté pour l’encourager. Troisième jet, c’est parfait, SOPHIE apprends vite, elle peut finir de se soulager. Je la nettoie doucement avec un gant de toilette trempé dans l’eau tiède.
Debout, jambes écartées, au centre du donjon, nous allons faire un exercice de musculation. Je prends un gode, lisse, très fin, que j’introduis dans sa chatte toute humide. Deux va et viens, je le lâche et SOPHIE doit le maintenir en position, en bandant ses muscles. Le gode tombe, deux claques sur chaque fesse, on recommence. SOPHIE se concentre, se contracte, le gode tient 20 secondes. C’est mieux, mais je veux qu’il tienne 1 minute, deux claques sur les fesses et troisième essai. Elle est très concentrée, je sens une résistance à l’introduction, je chronomètre : 58 secondes, c’est bien pour une première fois. L’exercice se durci, le gode est remplacé par une règle carrée d’écolier. En trois essais, elle devra la maintenir 20 secondes. Au troisième essai, la règle tombe au bout de 24 secondes. J’embrasse SOPHIE, la flatte, son patron et maître n’aura que des louanges sur cette élève très douée.
Elle ne tient plus en place, me veut en elle, mais elle doit encore patienter. Je m’installe dans le fauteuil, le fais venir de dos, jambes écartées, penchée en avant. Je veux me délecter encore de sa chatte et de son cul. Je caresse ses fesses, les baise, les mordille, les écarte à deux mains, introduit un doigt, puis deux, dans l’étroit conduit. Un téton dans chaque main, je les tire, roule. Mon visage se plaque sur sa chatte, je lèche son clitoris, reniflant son odeur intime. Je bois son jus, par petites lampées, comme du bon vin. Je sors enfin ma queue, SOPHIE le voie, se baisse et s’empale. Elle se trémousse, tressaute sur moi, accélère la cadence et finie par jouir.
Très vite relevés, ne voulant rien perdre de mon excitation, je la plaque sur la table et la sodomise. Enfin, l’ayant fais mettre à genoux, je décharge sur son visage, elle ne perd pas une goutte de ma semence.
A 18 heure 30, nous descendons rejoindre les autres couples pour la séparation.
Une petite collation est servie. Nous faisons la synthèse des leçons données aux soumises. Pas une n’a regretté d’être passée dans mes mains, en particulier SOPHIE est ravie. Je suis officiellement admis dans le groupe, SOPHIE devient ma soumise attitrée, je peux venir la voir ou l’accueillir quand bon me semble. La réunion suivante est programmée un mois plus tard, ce sera l’inauguration de ma chaise spéciale. A 20 heure nous nous séparons, j’embrasse longuement SOPHIE et je rentre chez-moi, enchanté de ce merveilleux week-end.
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